Mécanique appropriée pour un swing de golf

La mécanique du swing de golf est une source constante de débat parmi les instructeurs.

Ces enseignants se divisent généralement en deux camps : Ceux qui enseignent le « swing », où le club répond essentiellement à la gravité comme s’il s’agissait d’un pendule, et ceux qui enseignent le « levier », où le club répond à l’application de la force musculaire comme s’il s’agissait d’un levier. Mais lorsque vous prenez le temps d’examiner la mécanique du swing de golf, vous réalisez que les deux côtés décrivent la même chose.

Charnières détendues

Les professeurs de swing, y compris Jim Flick, peuvent se référer aux poignets comme points de pivot pour le pendule (le club) tandis que les professeurs de levier, comme Ben Hogan, les appelleront charnières pour le levier (encore une fois, le club), mais chacun effectue la même action.

Les poignets sont détendus et le club – qu’il soit pendule ou levier – les amène à armer et désarmer pendant le swing en réaction à son mouvement. Des muscles tendus ralentissent les poignets et interfèrent avec leur action d’armement appropriée.

Tourner les épaules

Dans les deux approches, les hanches restent relativement immobiles tandis que le haut du corps se déroule de concert avec l’articulation des poignets. En faisant tourner les épaules au début du swing, les deux bras peuvent rester droits et détendus jusqu’à ce que les mains atteignent la hauteur de la taille ; ce mouvement est souvent appelé un  » takeaway en une seule pièce « . À la position haute de la taille, les articulations des épaules permettent simplement aux bras de se déplacer vers le haut du backswing – pour un droitier, le bras gauche reste relativement droit tandis que le coude droit se plie – et l’élan du swing entraîne naturellement les mains vers le haut.

Changement de direction

Au sommet du backswing, le joueur ressent une pression dans ses poignets alors que ses mains et ses bras commencent le downswing, mais l’élan du club fait que les poignets restent armés. Ironiquement, les deux approches appellent ce moment « sentir la tête du club ». C’est cette pression, alors que la tête du club essaie de poursuivre le backswing pendant que le joueur commence le downswing, qui empêche les poignets de se désarticuler jusqu’à ce que les mains reviennent à hauteur de la taille.

Downswing

Le downswing est simplement une inversion du backswing.

Lors du backswing, un joueur droitier sentira une pression dans sa hanche et sa jambe droites car ses hanches résistent à la rotation de ses épaules ; de même, lors du downswing, le joueur sentira une pression dans sa hanche et sa jambe gauches car son corps se déroule de sa position enroulée. L’épaule droite peut s’abaisser légèrement, mais il ne s’agit pas d’un mouvement important ni d’un mouvement planifié ; il s’agit simplement d’une partie naturelle du swing. Les bras et les poignets se redressent lorsqu’ils reviennent à leur position d’installation, et l’élan fait tourner le corps du joueur vers la gauche après que la balle ait été frappée.

Mouvement naturel

En fin de compte, un swing de golf est un mouvement très naturel ; Annika Sorenstam a écrit qu’elle avait l’impression d’avoir simplement fait tourner son corps et que la balle s’était mise en travers.

Lorsqu’on apprend à balancer un club de golf, les zones critiques pour la plupart des joueurs sont le takeaway et le changement de direction ; ces mouvements causent plus de difficultés car ce sont de grands mouvements qui utilisent les mains et les bras ensemble. Obtenez ces deux mouvements corrects et vous apprendrez à swinguer avec très peu de problèmes.

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